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Pleurotes roses

THÉRAPIE DE COUPLE

Sexothérapeute à Paris 14 & en ligne

Vous ne savez plus par où reprendre.

Les conversations tournent en rond. Ou elles explosent. Ou elles n'ont plus lieu du tout. Vous avez l'impression de parler deux langues différentes — et personne ne traduit.

Peut-être que l'un veut partir. Peut-être que vous y pensez tous les deux sans oser le dire. Peut-être que vous restez "pour les enfants", "pour l'instant", "en attendant de voir".

Peut-être que vous ne vous disputez même plus. C'est pire. Le silence. La cohabitation polie. Deux vies parallèles sous le même toit.

Vous vous demandez si c'est récupérable. Si ça vaut encore le coup d'essayer. Si vous n'êtes pas en train de perdre votre temps — ou de retarder l'inévitable.

Vous êtes ici parce que quelque chose en vous n'a pas encore lâché.

CE QUE VIVENT LES COUPLES QUI ARRIVENT ICI

Vous n'êtes pas les premiers à pousser cette porte.

Les couples qui arrivent ici ont souvent tout essayé. Parler. Se taire. Faire des efforts. Lâcher prise. Lire des livres. Attendre que ça passe.

Ils viennent quand ça ne passe plus.

Certains se disputent pour tout — l'argent, les enfants, le ménage, le temps, le sexe. Chaque conversation devient un champ de bataille.

D'autres ne se disputent plus du tout. Ils ont arrêté. Pas par apaisement — par épuisement. Ils cohabitent, fonctionnent, gèrent. Mais ils ne se retrouvent plus.

Il y a ceux qui ont découvert quelque chose. Une infidélité. Un mensonge. Une double vie. Et maintenant ils ne savent plus quoi faire de ce qu'ils savent.

Il y a ceux qui s'aiment encore — ils le sentent — mais qui ne savent plus comment se le montrer. Le désir s'est éteint. La tendresse aussi. Il reste l'habitude.

Et il y a ceux qui se demandent s'ils se sont jamais vraiment choisis — ou s'ils ont juste glissé ensemble par confort, par peur, par accident.

Ce que vous vivez a un nom. Ce n'est pas "la fin". C'est une crise. Et une crise, ça se traverse.

CE QUI SE PASSE SI RIEN NE CHANGE

Vous le savez déjà, au fond.

Si rien ne change, ça ne va pas "s'arranger tout seul". Les couples qui vont mieux ne sont pas ceux qui attendent — ce sont ceux qui décident.

Sans travail, les disputes deviennent des blessures. Les silences deviennent des murs. Le ressentiment s'accumule, couche après couche, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de place pour autre chose.

Un jour, l'un des deux se réveille et réalise qu'il est déjà parti — émotionnellement, mentalement. Le corps est encore là, mais le reste a décroché depuis longtemps.

Ou alors, la rupture arrive — brutale. Un mot de trop. Une révélation. Un "je n'en peux plus" qui sort sans prévenir.

Et là, c'est trop tard pour réparer. On gère les dégâts.

Divorce. Avocats. Garde des enfants. Deux appartements. Deux vies à reconstruire. Des années à digérer.

Ça coûte cher — financièrement, émotionnellement, humainement.

Beaucoup plus cher qu'un accompagnement maintenant.

LES SITUATIONS QUE J'ACCOMPAGNE

Chaque couple est différent. Mais certaines situations reviennent.

Crise aiguë Vous parlez de séparation. L'un veut partir, l'autre non. Vous ne vous supportez plus. Les disputes sont quotidiennes.

 

Infidélité Elle a été découverte ou avouée. Vous ne savez pas si vous pouvez pardonner. Vous ne savez pas si vous devez rester.

 

Sexualité en panne Plus de désir. Plus de rapports. Ou des rapports mécaniques, sans connexion. L'un veut, l'autre non. Le sujet est devenu tabou.

 

Déconnexion Vous vivez comme des colocataires. Vous gérez le quotidien, les enfants, la logistique. Mais vous ne vous parlez plus vraiment. L'un s'est fermé.

 

Moments de vie difficiles Crise après l'arrivée d'un enfant. Épuisement parental. Remise en question de la quarantaine. Usure après des années ensemble.

 

Conflits extérieurs Tensions avec les belles-familles. Ingérence des parents. Différences de religion, de culture, de vision de la vie.

 

Quelle que soit votre situation — si vous êtes encore là tous les deux, il y a quelque chose à faire.

QUI JE SUIS

Je suis Scarlett Kaplan. Sexologue et thérapeute de couple à Paris. Je reçois aussi en visio.

Ce que vous allez me raconter ne va pas me choquer. Les cris, les reproches, les silences hostiles — j'ai l'habitude. Je ne suis pas impressionnée par le conflit. C'est précisément là que je travaille.

Mon rôle n'est pas de vous dire qui a raison. Ce n'est pas de vous réconcilier à tout prix. C'est de vous aider à comprendre ce qui se joue vraiment entre vous — sous les disputes, sous les accusations, sous les non-dits.

Je ne prends pas parti. Je ne fais pas la morale. Je cherche avec vous.

Et je suis directe. Si quelque chose doit être dit, je le dis. Pas pour blesser — pour avancer.

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CE QUE JE NE FAIS PAS

On commence par un premier rendez-vous. Vous venez ensemble. Vous racontez ce qui vous amène — chacun sa version, même si c'est la même histoire. Ce qui m'intéresse, c'est comment chacun l'a vécu.

 

Quelques règles, pour que l'espace soit sûr :

 

On ne parle pas pour l'autre. On ne lit pas ses pensées. On ne dit pas "tu penses que..." ou "en fait ce qu'il veut dire c'est...". On parle de soi — son ressenti, son expérience, ses impressions.

 

On ne coupe pas. On n'insulte pas. On n'imite pas. On ne se moque pas.

 

On ne révèle pas quelque chose de personnel sur l'autre s'il n'est pas prêt à le dire lui-même. Et si on pense que c'est important pour avancer, on lui demande d'abord.

 

Et quand ça dérape ? Ça arrive. Les cris, les insultes, les attaques, les imitations — ça fait partie de ce que les couples en crise portent avec eux. Je ne fais pas semblant de ne pas voir. Je coupe. Je pointe. Et on en parle. Ce qui vient de se passer entre vous, là, maintenant — c'est du matériel. C'est exactement ce qu'on est venus travailler.

 

Ces règles ne sont pas là pour brider. Elles sont là pour que chacun puisse parler sans se protéger.

 

Ensuite, on avance.

Séance après séance. On décortique les dynamiques. On nomme ce qui n'a jamais été nommé. On travaille sur la communication — pas la "bonne communication" des livres, celle qui marche pour vous.

J'utilise plusieurs approches selon ce dont vous avez besoin : thérapie de couple, travail sur les schémas relationnels, approche systémique, parfois EMDR ou hypnose si un blocage plus profond apparaît.

 

Entre les séances, je vous donne des exercices. Des conversations à avoir. Des choses à essayer. Et quand le désir ou la sexualité sont en panne, des exercices concrets pour reconstruire — pas à pas, à votre rythme. C'est mon métier de sexologue autant que de thérapeute de couple.

 

Le rythme dépend de vous. Certains couples viennent toutes les semaines. D'autres toutes les deux semaines. On ajuste.

 

L'objectif n'est pas que vous restiez ensemble à tout prix. L'objectif, c'est que vous preniez une vraie décision — pas une décision par défaut, par usure ou par peur.

THÉRAPIE DU VAGINISME : COMMENT JE TRAVAILLE

On avance à votre rythme. Vous dites les choses quand elles viennent, dans l'ordre qui est le vôtre. Je ne vous brusquerai pas.

Je travaille sur quatre axes :

1. Le corps. Comprendre votre plancher pelvien, vos muscles, votre respiration. Reconnaître vos réactions réflexes, les apprivoiser, les transformer.

2. Le système nerveux. Sortir du mode "danger". Installer la sécurité intérieure. Calmer la panique, la dissociation, la fermeture. Réapprendre la sensation sans douleur.

3. Les émotions et la mémoire. Comprendre ce qui se joue. Dissoudre la honte. Déposer ce qui pèse. Parfois, avec l'EMDR ou d'autres outils.

4. La sexualité en douceur. Revenir à une sexualité possible, progressive, choisie. Retrouver la place du plaisir. Intégrer le partenaire dans le processus, si vous le souhaitez.

J'utilise plusieurs outils selon ce qui vous convient : l'EMDR pour désactiver la charge émotionnelle. L'EFT pour apaiser les réactions du corps. L'hypnose pour accéder à des ressources profondes. Des exercices corporels doux pour réapprivoiser les sensations.

Je respecte vos limites. Et en même temps — on ose y aller. On ne reste pas au bord. On avance, pas à pas, vers ce qui fait peur.

EN COMBIEN DE TEMPS PEUT-ON ALLER MIEUX ?

Cela dépend de l'intensité du vaginisme et de son histoire.

Certaines femmes débloquent en quelques séances. D'autres avancent par étapes. Les progrès sont souvent rapides lorsque le cadre est sécurisant, le corps est entendu, la progression est claire, et la pression disparaît.

Ce n'est jamais une question de volonté. C'est une question de faire les exercices et de sécurité intérieure

PRENDRE RENDEZ-VOUS

Vous n'avez pas besoin d'être prête. Vous n'avez pas besoin d'avoir les mots. Vous avez juste besoin d'essayer.

Je reçois à Paris et en visio.

FAQ : QUESTIONS FRÉQUENTES

On n'est pas d'accord pour venir — l'un de nous est réticent.

>C'est fréquent. Parfois, l'un vient d'abord seul. Parfois, le réticent accepte d'essayer une séance. On voit.

Combien de séances faut-il ?

>Impossible à dire à l'avance. Certains couples avancent en 5-6 séances. D'autres ont besoin de plusieurs mois. Ça dépend de ce que vous portez.

Est-ce que ça marche vraiment ?

>Ça dépend de ce que vous appelez "marcher". Certains couples se réparent. D'autres se séparent — mais proprement, en comprenant ce qui s'est passé. Les deux sont des réussites.

Et si on décide de se séparer pendant la thérapie ?

>Alors on accompagne la séparation. Pour qu'elle se fasse avec clarté, pas dans la destruction.

Vous recevez aussi en individuel ?

>Oui. Parfois un travail individuel en parallèle est utile. On en parle si besoin.

Pleurotes roses

Votre couple n'est pas une erreur. Ce que vous traversez n'est pas une fatalité.

Quelque chose vous a réunis. Quelque chose vous a fait tenir jusqu'ici. La question, c'est : qu'est-ce que vous voulez en faire maintenant ?

Pour aller plus loin, mes articles sur le sujet

Prendre rendez-vous

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